François : l’objection comme droit humain

Cette remarque du pape intervient alors que le débat fait rage en Italie sur l’impossibilité pour les maires de faire objection aux célébrations de mariages entre personnes de même sexe.

 » C’est au Parlement qu’il faut discuter, argumenter, expliquer, raisonner. Ainsi grandit une société. Une fois que la loi est votée, l’État doit respecter les consciences. Dans chaque structure juridique, l’objection de conscience doit être présente car c’est un droit humain. Y compris pour un fonctionnaire du gouvernement, qui est une personne humaine. L’État doit aussi respecter les critiques. »

Entretien à La Croix 16 mai 2016

Publié dans : Actualités, Europe